Archives de Tag: Simon Neil

Island of hormone [Part II]

Bon, ça fait un mois que c’est fini, mais l’hormone ne périme jamais (non gens d’hollywood, vous ne pouvez pas piquer cette phrase pour intituler le prochain James Bond).

Au Sziget (voir article précédent), il y avait aussi de l’hormone sur scène hein. Et j’ai même compilé plein de preuves photographiques. Histoire que vous n’ayez pas à me croire sur parole.

tumblr_ml1xx7oa341snq68mo1_500

601413_10151495730207084_94236790_n

Le King de l’hormone de la première partie du festival s’appelait clairement Simon Neil, et pas besoin de grosses flammes, de confettis et de brisage d’instruments : non, seul son minuscule petit pantalon nous importait ce soir là.

970684_10151495730332084_531793725_n

1150781_10151495730442084_1946376405_n

Car, avec le temps, chez Simon, tout a rétréci : de sa barbe à ses habits. On espère que sa femme n’est pas trop frustrée.

1098162_10151495730787084_23016195_n

Le chapiteau de l’A38 a été un lieu d’extase à part entière :

602014_10151494665257084_2048559455_n

Comme en témoigne, ci-dessus le monsieur de Hoffmaestro.

Hoffmaestro, des suédois qui étaient intéressants surtout parce qu’ils attiraient un public de grands blonds ne supportant pas la chaleur et donc peu garnis en vêtements (voir note précédente)(oui, les liens, c’est pour les chiens).


998088_10151503435167084_652171282_n


Chez les frères Jarman des Cribs (un groupe qu’il est musicalement bien) l’hormone est fluctuante, parfois c’est Ryan, parfois c’est Gary,  qui gagne la médaille de l’hormone – trop de peu de fois c’est l’autre frère dont on n’est pas obligé de retenir le nom. Bon, si, ok, il s’appelle Ross, mais c’est bien parce que c’est vous.

Breeeeef : Ryan n’en faisant capillairement qu’à sa tête et Gary ayant eu le bon goût d’arborer une affriolante barbe de trois jours , c’est ce dernier qui gagne la palme pour cette fois.
Gary+Jarman+nPhZ1lMTJpTm
[Ryan, Ross & Gary, mais vous les aurez replacés tous seuls à l’aide mes indications mignonnes]

S’il y a bien un groupe qui a marqué mon année musicale, c’est Everything Everything, et j’étais donc pantoise d’admiration, au premier rang, quand notre ami Jeremy Pritchard (@PritchardJeremy pour les intéressées), à gauche sur la photo en bas. (Oui, bon scrolle, hein)

Alex+Robertshaw+Jeremy+Pritchard+Barclaycard+2uRv6uyhdj6lAncien garçon potelé devenu franchement tanké, Jerem’ se la pète grave avec sa basse et ses choeurs, et est un petit teigneux sur scène. Mais nous, on l’aime bien. Et on le valide grave.

1157476_10151494672757084_1134445659_n

Bon, j’oublie personne ?

Si ?

Qui cela peut-il être ?

Oh.

Lui 🙂

Dame  553024_10151495764357084_386497921_n

945436_10151495763712084_2017417934_n

995156_10151495763257084_77222049_n

1001420_10151495763602084_1107316374_n  1014190_10151495758972084_1862195495_n

1016445_10151495763262084_1112620200_n


L’hormone en Seine

Me voilà de retour vivante de Rock en Seine, seul festival au monde où les filles slamment avec un sac chanel et où j’ai pu admirer la variété immense des collections de bottes en caoutchouc.

Vous l’aurez compris : il pleuvait. Le vendredi soir tout est tombé d’un coup ou presque, mais le samedi il s’agissait d’averses qui s’en allaient et revenaient, du coup c’était humide, froid et peu propice à l’hormonitude, mais, entre deux rayons de soleil j’ai quand même pu procéder à un mitraillage en règle de ce qui me passait devant le nez.

Même plan que d’habitude mais cette fois à l’envers : d’abord les spectateurs et ensuite les musiciens.

Je tiens donc à saluer ces deux messieurs pour avoir eu le courage de faire ce que personne d’autre n’a fait :

Sinon c’était surtout la fête du look, peu de garçons foudroyant mais beaucoup de garçons permanentés-shampouinés-lookés

Bon, et, je dois avouer que si ces photos ont un cadrage particulièrement artistique c’est un peu à cause de ça :

Et mon coup de coeur « gay-friendly-trop-choupi » du week-end :

Passons maintenant aux pro de l’hormone !

Mon coup de coeur de l’hormone du vendredi : Simon Neil du groupe Biffy Clyro (et après on ne me dira plus que je publie des articles seulement sur des prépubères) !

[Et il était encore plus poilu sur scène]

A noter : le joli petit déhanché du monsieur qui ferait rougir Elvis.

Le samedi, c’est forcément Alex Turner qu’on attend, depuis que l’Arctic Monkey a trouvé la recette du Biactol et le chemin du club de sport il est devenu un des british les plus sexy du moment… oui mais…

Voilà. Depuis qu’il a dit byebye à sa fashionista de copine (Alexa Chung) en juillet dernier, Alex est tombé dans la spirale infernale de la « fausse bonne idée », trop looké, trop rétro, trop « laisse tes cheveux tranquilles gamin ! », Turner m’a plus impressionnée par sa présence sur scène (ses premiers mots furent quand même « Je suis une rockstar », en français) que par sa joliesse.

Si.

Désolay.

Le dimanche, un outsider de l’hormone fait son apparition : Faris Badwan, leader de The Horrors & Cat’s Eyes qui jouera deux fois, donc, est le quirky boy par excellence, style très calculé, noir c’est noir, avec le talent suffisant pour que le tout soit loin d’être ridicule :

[Un peu l’enfant que n’auront jamais Nick Valensi et Jules Casablancas]

Et pour finir, mention spéciale à David Pen, d’Archive, donc le charme et l’intensité scénique donnent envie de sauter sur scène pour le prendre dans ses bras et dire « la-la, ça va aller pitchoune »

Un festival fort en musique et hormonalement solide, malgré la boue